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24 août 2020 1 24 /08 /août /2020 10:35
Une guerre de retard

L'image navrante de Mélenchon en campagne des présidentielles  lors de l'université d'été  2020 et des verts qui ont le même souci , y ajoutant des accords électoraux de sommet,  a de quoi désespérer.

 Alors que la France est frappée par une crise terrible, sociale, économique et politique, alors que la défiance grandit dans le peuple par rapport à la politique, quel image donnent deux des plus importantes composantes  de  la gauche ?

  Celle de partis qui continuent à  ne se préoccuper  que des élections et des destins personnels. On disait que les états-majors  de l'armée française avaient la fâcheuse habitude d'avoir une guerre de retard, ce qui leur en a fait perdre beaucoup et en commencer d'autres de manière catastrophique.

Ces états-majors ne sont  plus seuls désormais dans ce cas.  Des images de "chefs" qui se veulent charismatiques s'opposent au formidable désir qui monte d'être acteur d'un  dépassement.  . Mais le peuple français a les ressources  pour construire la stratégie de rassemblement qui mènera à la victoire. Il l'a commencé  à Marseille  et il le prouvera à une échelle incomparablement supérieure.

  Faire gagner Macron par défaut est en effet la seule autre option  , qui devient insupportable. Les temps changent, messieurs les généraux !

  Henri Ausseil

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22 août 2020 6 22 /08 /août /2020 08:18

Avec une obstination digne d'un meilleur résultat, les médias d'état  essaient  de configurer le débat politique.

   D'un côté bien sûr   Macron et le monde réel , impossible à transformer et auquel il faut s'adapter.  Mais guère reluisant.

   De l'autre Mélenchon qui organise seul (pour les médias, puisqu'ils ne parlent pas des autres)  des assises d'été et auquel le maire EELV de Grenoble tend la main. Et dont les maladresses et les outrances sont mises en valeur , quand  des perquisitions à l'aube ne le visent pas,  pour que  la barre des 30 %   d'électeurs potentiels  ne puisse être dépassée. Et Macron ou son clone élu par défaut à la fin.

  Le blog en tire un certain orgueil. Si les communistes sont systématiquement oubliés et refoulés, c'est qu'ils représentent un danger, celui d'un rassemblement qui dépasse les limites de la social démocratie et de ses voisins de palier et ébranle réellement l'édifice.

   Mélenchon qui n'est pas toute la France insoumise, EELV qui n'est pas toute l'écologie ont leur rôle à jouer dans ce rassemblement, et il sera important. Mais ils ne sont pas LE rassemblement pour lequel le blog continuera inlassablement de  militer, qui ne s'arrête nullement aux couches moyennes et aux partis politiques.

  Henri Ausseil

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18 août 2020 2 18 /08 /août /2020 06:37

Le blog  transmet toutes les informations à sa disposition sur Che paulette et la lutte admirable qui  y est menée.  Mais l'état de la gauche est tel que les initiatives  restent parallèles et que les coopérations planifiées tardent à venir.  Les partis constitués font un travail précieux mais trop souvent en vase clos. Dans notre secteur 100 paroles est un vecteur d'informations brutes incomparable.  Le blog quant à lui trace son  sillon dans l'information "digérée" localement sans parvenir encore à lancer le débat.  Il a beaucoup de lecteurs mais trop  peu de réactions. Tout cela se complète et ne s'oppose pas.  l'intellectuel de la multitude se construit lentement. L'absence d'espoir  fruit de la division est un frein puissant.

 Donc dans l'état, ceux qui veulent contacter Che Paulette  doivent le faire directement et chacun fait comme il peut.

  Lecteur et lectrice  découvrent peut être l'état réel de notre organisation. Comme du temps de la Résistance à ses débuts,  des énergies individuelles ou locales  cloisonnées  sont nées. Pour la France entière c'est encore plus patent.  La richesse du débat est inouïe  sans la  synthèse dans l'action qui devrait en découler.  Chacun rêve de rassembler autour de sa chapelle sans assimiler l'importance essentielle des différences à accepter si on veut rassembler avec succès.

 Nul doute que la question finira par se régler lorsqu'on s’attellera au comment faire en dépassant le constat souvent larmoyant  (que Macron est méchant , comme s'il pouvait être gentil dès qu'on marche sur les pieds du capital)  et  en appliquant les résultats de   la réflexion . Il faut pour cela  qu'un Jean Moulin collectif  (ce qui est le plus difficile !)   fasse la synthèse dans l'action.  C'est d'ailleurs l'essence du marxisme qui n'est la propriété de personne.

 

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16 août 2020 7 16 /08 /août /2020 11:15
La vérité sur l'hôpital public.

Cette courbe montre  comment  de 2002 à 2016 l’hôpital puise dans  ses recettes  pour investir. Plus la courbe est haute, plus c'est le signe que l'hôpital peut investir. Il n'est pas nécessaire d'avoir fait des études d'économie pour constater  le basculement  de 2008. A partir de cette date l'investissement baisse non par choix mais parce que les ressources se tarissent, La lente agonie de l'hôpital commence. Et les personnels n'y sont pour rien.

    Quel monstre technocratique est à l'origine de cette évolution?

Vous allez avoir une surprise : c'est Bérégovoy socialiste libéral qui  lance la machine infernale, préparée dans l'éducation nationale.    Ce qu'en langage politiquement correct on appelle une réforme  fait en sorte que  la dotation globale de fonctionnement  remplace la subvention  en fonction  du nombre et de la durée des hospitalisations. L'hôpital reçoit une somme forfaitaire  avec laquelle il doit se débrouiller : le prix de journée fluctue au gré des budgets et le nombre supputé de journées aussi. Ces calculs savants n'incluent ni le vieillissement ni les coûts de la technologie médicale ni l'évolution des dépenses de personnels, par exemple les heures sup.

 C'est la lente asphyxie qui commence. Les luttes freinent l'évolution.

Puis en 1990 sous Rocard, autre homme de gauche qui mène une politique de droite, s'opère un nouveau tournant qui s'achève avec le plan hôpital de 2007 avec Fillon de droite. : la tarification à l'activité. qui ouvre l'hôpital aux joies de la dette. C'est l'entrée des banques et des emprunts. Lisez économie et politique  pour avoir le mécanisme en détail.

    Donc le COVID n'est en rien une cause des difficultés, il est le révélateur de choix politiques catastrophiques.

  Tiré d'économie et Politique  juin 2020

   

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14 août 2020 5 14 /08 /août /2020 08:28

Les innovations langagières dans le vocabulaire politique dominant sont rarement anodines. Deux nouveautés lexicales sont apparues récemment avec la promotion de deux termes : séparatisme et ensauvagement.

 Ces termes ont en commun de signaler des pseudo-dangers contre lesquels il faudrait lutter sous peine de voir disparaître les fondements mêmes de la vie sociales, les « valeurs de la République », la sécurité des citoyens, etc. Ils expriment également l’affirmation d’une aggravation de la situation de danger rendant obsolète et/ou insuffisant le vocabulaire ancien. Une telle aggravation rendrait nécessaire une politique ferme de défense et de ripost

Ce discours avait  disparu du débat politique depuis de nombreuses décennies, sauf  contre  les indépendantistes et les communistes"qui sont à l'est". 

Le séparatisme

 Emmanuel Macron  recycle ce vocable , en février 2020, le président appelle à un plan de lutte contre le " séparatisme islamiste "  lors d’un déplacement à Mulhouse.   Lors de son allocution à Mulhouse Emmanuel Macron décrit la menace à laquelle le plan et la loi contre les séparatismes sont censés répondre. Le ton du discours est à la dramatisation. La méthode classique de la généralisation de faits divers minoritaires est au rendez-vous. Un problème social est inventé et posé comme une réalité significative avérée dont l’ampleur justifierait un plan et une loi spécifique : 

"Dans la République, on ne peut pas accepter qu’on refuse de serrer la main à une femme parce qu’elle est femme ; dans la République, on ne peut pas accepter que quelqu’un refuse d’être soigné ou éduqué par quelqu’un ; dans la République, on ne peut pas accepter la déscolarisation ; dans la République, on ne peut pas exiger des certificats de virginité pour se marier ; dans la République, on ne doit jamais accepter que les lois de la religion puissent être supérieures aux lois de la République, c’est aussi simple que ça".

Ces faits minoritaires existent bien sûr et ont toujours existé. Le choix de les construire comme problème social significatif et de les inscrire comme priorité de l’agenda politique contribue une nouvelle fois à présenter une partie de la communauté nationale comme problème et comme danger. L’économie générale du discours du président comme les exemples qu’il cite soulignent que ce qui est aujourd’hui dénoncé comme « séparatisme » correspond à ce qui était désigné comme « communautarisme » jusqu’alors..

la dimension territoriale  est véhiculée par le terme « séparatisme ». En témoigne l’association permanente du « séparatisme » aux quartiers populaires dans les discours du président et de son premier ministre. Nous sommes dans la droite ligne des discours sur les « territoires perdus de la République » nécessitant une reconquête militaire. Dans un contexte où la pandémie du Covid a mis en évidence l’ampleur de la paupérisation qui touche ces territoires et les colères sociales qu’elle suscite, le discours sur le séparatisme prépare l’opinion à une répression brutale des révoltes sociales possibles dans ces quartiers populaires. Dans le même temps où l’Etat détruit systématiquement les services publics et plus largement toutes les politiques de redistribution, il se renforce dans le domaine des politiques sécuritaires. Le moins d’Etat social exige un plus d’Etat autoritaire.

 Hier avec le concept de laïcité et aujourd’hui avec celui de République, une notion est postulée comme univoque et absolue. Toute discussion à son propos est avancée comme constituant une remise en cause des conquis démocratiques, des droits fondamentaux, des libertés constitutionnelles, etc

L’ensauvagement

Dans son discours de Mulhouse de février 2020 Emmanuel Macron articule la lutte contre le séparatisme au concept de « civilité ».C’est la manière d’être citoyen les uns avec les autres et donc, c’est la manière, en tant que citoyen, de respecter pleinement les règles de la République. Et là-dessus, nous ne devons avoir aucune complaisance. Dans la République, la femme est l’égale de l’homme et toutes les lois sont respectées.  On ne peut accepter au nom d’une religion quelle qu’elle soit, qu’on vienne enfreindre ces  lois.

Les termes de civilité et d’incivilité se sont banalisés dans le vocabulaire politique contemporain. Cette banalisation n’est pas neutre et ne peut pas être découplée du contexte théorique et idéologique global. Celui-ci se caractérise par un retour en force du culturalisme, en particulier sous la forme de la théorie du « choc des civilisations ». Le propre de l’approche culturaliste est d’expliquer les faits sociaux, économiques et politiques par des facteurs culturels. Ce n’est donc pas un hasard, ni une surprise que le culturalisme contemporain redécouvre un champ lexical dominant d’une autre séquence historique, la colonisation. Dans celle-ci également le besoin de masquer et/ou de justifier les inégalités et les dominations a conduit à une surproduction idéologique culturaliste.

Loin de se limiter à un projet de restaurer des règles de politesse et de respect mutuel, le retour du terme civilité dans le débat politique contemporain révèle le réinvestissement par les dominants d’une vision d’un ordre social inégalitaire à imposer par la force. La soumission ne se déroulant plus suffisamment par l’adhésion à l’ordre dominant, l’idée de la contraindre par la force est promue. L’historien Gilles Manceron rappelle pertinemment que les conquêtes coloniales se sont également justifiées par ce couple barbarie/civilisation.

L’utilisation du terme « sauvageon » par deux ministres de l’Intérieur [Chevènement en 1998 et Bernard Cazeneuve en 2016] témoigne que l’idée d’un processus d’ensauvagement en cours dans les quartiers populaires est loin d’être l’apanage de l’extrême-droite. Qu’est en effet le sauvageon, si ce n’est le résultat du processus d’ensauvagement. Hier avec le terme sauvageons et aujourd’hui avec celui d’ensauvagement [et donc d’ensauvagés] ce qui est désigné ce ne sont pas des actes mais des personnes et des groupes qui sont ainsi expulsés en dehors du « Nous » légitime et peuvent dès lors être l’objet de traitements d’exception [c’est-à-dire de l’application pour une partie des citoyens de règles et de pratiques prohibées pour les autres].

 Les termes  sauvageon, ensauvagement, racaille, barbare, etc., sont une préparation de l’opinion publique, à l’interne de l’hexagone comme sur le plan de la politique étrangère,  à l’utilisation de pratiques, de techniques, de traitements, de violences « légitimes », de contraintes, de contrôles, etc., pour certains définis par leur « sauvagerie » ou par les territoires où dominerait celle-ci,  et pas pour d’autres. Ils participent d’un processus de fascisation déjà en œuvre depuis plusieurs décennies mais qui s’accélère dans la séquence historique actuelle. Sans être devin, il faut donc s’attendre à une nouvelle aggravation des politiques sécuritaires. Le déni officiel persistant des violences policières systémiques [en dépit d’une mobilisation inédite depuis plusieurs décennies] s’inscrit dans ce contexte. De la dénonciation d’un pseudo danger communautariste masquant le réel communautarisme de classe, à l’appel à la lutte contre le séparatisme, ce qui se dévoile n’est rien d’autre que l’ensauvagement d’une société capitaliste comme réponse aux colères sociales et aux exigences d’égalité.  

Extraits d'un texte de  Bouamamas  publié sur son site auquel nous vous invitons à vous reporter.

Note du blog  le texte original est tyrès long nous l'avons fortement réduit mais il reste anormalement long pour notre format  vu son importance, le réduire encore aurait été l'appauvrir.

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29 juillet 2020 3 29 /07 /juillet /2020 09:02

Comme toujours lorsque la gauche reprend des couleurs, le NPA fait parler de lui.  Les purs et durs veulent le quitter.

 Le blog trouve surprenant que le choix se situe toujours entre deux erreurs et soit donc à tous les coups une erreur.  Dans le cas présent le choix entre Mélenchon qui freine  le rassemblement  à gauche et la mise sur la touche comme le KKE grec. Espérons qu'un jour le fléau de la balance ira vers le rassemblement où chacun reste lui même. Car le rassemblement a besoin du NPA  et de ne pas oublier les principes.

 

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27 juillet 2020 1 27 /07 /juillet /2020 09:12

Une péripétie   à la mairie de Paris, où PS, PCF et verts ont conclu un accord victorieux est en réalité très révélatrice.

   La victoire dans des triangulaires et avec une faible proportion  de votants laisse supposer que la gestion sera compliquée et périlleuse. La mettre en danger  n'est pas interdit, si une ligne rouge est franchie mais elle  devra être pesé  pour savoir  sur quoi elle débouchera.

  Annie Hidalgo a maintenu à son poste Christophe Gérard comme adjoint à la culture. Ce dernier est l'ami  de Gabriel Matzneff  écrivain  soupçonné   de viols sur mineures. Une manifestation  verte et féministe  avec des slogans injurieux a  entraîné la démission de Gérard.

   Supposons qu'Annie Hidalgo s'entête   (depuis 1789 et la fin de la responsabilité collective, nul n'est responsable d'un acte commis par quelqu'un d'autre), c'était la crise assurée, pour un motif qu'on a bien du mal à considérer comme pertinent.  En somme la tentation hégémonique cette fois des verts qui est si dangereuse. Julien Bayou (EELV) a heureusement tempéré, mais cela mérite réflexion

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21 juillet 2020 2 21 /07 /juillet /2020 18:06

La crise  révèle la nécessité de rassembler largement  pour que la gauche ait les moyens de placer  l'humain au centre du débat , mais pas dans la  situation des années 80 où le PS était hégémonique et   rallié au capitalisme de la rente financière. Ce que Joffrin veut rescusciter est ce qui a provoqué la crise terrible que nous vivons.

  Lentement, on l'a vu par ci par là, cette stratégie de rassemblement commence à émerger et obtient des succès.

 C'est dans ce cadre que se situe la tentative de Joffrin qui ne quitte pas le journalisme  pour la politique, puisque  Libération est l'outil politique du social libéralisme. Il passe  simplement aux travaux pratiques

   * empêcher à tout  prix le rassemblement avec un PS non hégémonique , au profit d'"une alternance droite-PS-Macron.   A Grenoble par exemple  le Socialiste est devenu président de la métropole conte le maire vert, mais dans l'union avec la droite et laREM. 

 * limiter les enjeux au sociétal en surfant sur le mouvement social que l'on priverait ainsi de toute "pointe politique" susceptible  de satisfaire les revendications économiques et sociales.

 L'opération bénéficie d'une couverture médiatique qui fait rêver. Mais pas les Français et Françaises qui se détourneront de plus en plus de la politique si par malheur Joffrin réussissait son opération. 

  Le blog en tout cas continuera à la combattre tant que la multitude n'aura pas trouvé la forme politique adaptée à notre temps, qui  mettra  définitivement à la retraite Joffrin et ses semblables.

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16 juillet 2020 4 16 /07 /juillet /2020 06:33

Macron de juillet n'est pas Macron d'avril. Finies les généreuses déclarations d'intention  et on peut résumer  son propos :on continue comme avant  avec quelques inflexions.

  A vrai dire le blog n'attendait rien de lui sur le plan économique et social puisqu'il est l'homme des multinationales et beaucoup du mouvement social et du grand rassemblement.  Pour le moment Macron a un grand allié : les  insuffisances politiques  de la gauche et un adversaire redoutable  : le peuple français se laisse de moins en moins bourrer le mou mais à le tort de se détourner pour le moment  de la politique, la vraie. On devine ce qui reste à faire.

 

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10 juillet 2020 5 10 /07 /juillet /2020 06:28

Il hérite des désastreuses "réformes"  en cours. 

  *   Rappelons qu'il est prévu  de porter de 4 à 6 mois le temps de travail nécessaire pour en bénéficier et que samedis, dimanches et jours xfériés  seraient désormais pris encompte et non les seuls jours ouvrables. 1 million de chômeurs sont concernés et  l'allocation passerait de 905 à 708 euros.

  * Le Ségur de la santé  est l'occasion de constater un gouffre entre les demandes et les  propositions   : 300 euros de plus et 100 000 créations de postes d'un côté, 150 euros et 15 000 postes créés de l'autre.

Il n'y a plus d'arrogance et Castex déclare vouloir discuter. Mais c'est sur les actes que nos jugerons et non les déclarations d'intention.  Et les quelques avancées sont très insuffisantes et surtout sans consistance car prises sur les milliards  déjà  budgétisés. Prendre à Pierre pour donner à Paul, çà ne marchera pas.

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  • : Le blog de PCF Littoral
  • : Ce site donne et reçoit des informations sur les communes du littoral entre Lez et Vidourle( Mauguio-Carnon , Lattes, Pérols ,Palavas etc), sur l'activité du PCF et du front de Gauche (local et national).Il se veut un lieu de débat à la disposition de ceux qui ne se reconnaissent pas dans le consensus mou des médias dominants.
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