Celle magnifique artiste n'est certes pas à plaindre. Elle est une des rares à percevoir un pourcentage sur les entrées des films où elle joue.
Si nous avons bien compris Disney a trouvé le moyen de faire cesser ce privilège exorbitant et l'actrice porte la chose en justice.
L'air de rien ce fait divers porte sur une question fondamentale. Le film étant une œuvre d'art, bonne ou mauvaise, qui en est propriétaire?
Dans la patrie du pape Reagan c'est celui qui a donné l'argent, soit Disney ici. L'Europe est plus complexe reconnaissant le metteur en scène. Nulle part ce n'est l'acteur, dont le rôle n'est pourtant pas négligeable.
Scarlett fondera-t-elle un nouveau droit?