«La balle est dans le camp des États», déclare-t-elle. «Les responsables politiques devront aussi aller vite, notamment les Parlements nationaux, pour adopter les dispositifs. S’il [le plan de relance, ndlr] n’est pas ciblé, s’il se perd dans des dédales administratifs et n’irrigue pas l’économie réelle pour orienter nos pays vers le numérique et le vert, nous aurons raté une occasion historique de changer la donne».
Une nouvelle fois ce grand commis du capitalisme rentier s'alarme de ce que fait le capitalisme rentier. Elle a autant de chances de convaincre que l'Abbé Terray ou Maupeou en avaient de convaincre les privilégiés de leur époque à la veille de la révolution. En effet ce sont les privilégiés qui l'ont mise en place. Dur, dur d'être une Cassandre que personne ne croit, à part ses ennemis bien sûr, dont nous sommes. C'est qu'il faudrait attaquer là où ça fait mal , le profit des capitalistes !