Selon l'AFP, l'indice CAC 40 a plongé de 565 points pour finir à 4.044,26 points. À titre de comparaison, il avait perdu 7,3%, en clôture, le jour des attentats du 11 septembre 2001, et 7,7% le 10 octobre 2008, en pleine crise des subprimes.
La Bourse de Milan a perdu elle aussi jeudi 16,92% à la clôture, enregistrant la pire séance depuis la création de l'indice vedette FTSE MIB en 1998. L'indice a perdu 16,92% à 14.894 points, battant le précédent record négatif de juin 2016 consécutif au succès du référendum sur le Brexit. L'indice se trouve actuellement au niveau qui était le sien à la mi-2013.
Si la Bourse de Londres a terminé jeudi en baisse de près de 10%, sa pire séance depuis octobre 1987, la Bourse de Francfort a perdu 12,24%, connaissant ainsi sa plus forte chute depuis 1989. Madrid a lâché plus de 14%.
Il faut noter qu'une pandémie n'est pas éternelle, et qu'elle recule en Chine. N'étant pas experts, nous nous risquerons quand même à une hypothèse. Le virus est un déclencheur mais l'accumulation de l'économie virtuelle basée sur la confiance qui fabrique des milliards en dehors de l'économie réelle doit avoir accumulé les tonneaux de poudre qui explosent un jour ou l'autre.
La BCE au lieu de brûler les euros par milliards,ferait bien de les investir dans les besoins des populations et d'abandonner le libéralisme destructeur.