La peine de mort n'est pas abolie en France

26 morts  en 2019 en France  peuvent être attibuées à la violence policière.   Cela signifie que volontairement ou pas une personne détentrice de l'autorité de l'Etat a pu s'arroger le droit d'être   l'enquêteur, le juge d'instruction , le médecin parfois, le juge et le bourreau comme dans certains films exécrables de Klint Eastwood -inspecteur Harry.

    C'est donc contraire à l'état de droit. Nous avons conscience ici que la police contrainte de résoudre la quadrature du cercle, maintenir un ordre juste dans une société  de plus en plus injuste, accomplit une tâche de plus en plus difficile. Mais elle doit être la police de la République,  non celle du cinéma  et elle a tout à gagner à être une police citoyenne.

   La tentation d'être un exécutant zélé de Castaner  coupe du peuple, l'exercice de la protection des citoyens en respectant les règles réconciliera la police et la nation, car un Etat   doit protéger ses citoyens.

    Les familles des 26 victimes sont donc fondées à réclamer justice. Leurs enfants n'étaient peut être pas des enfants de chœur mais un vol de portable ne mérite pas la peine de mort.  Et certains n'avaient rien à se reprocher, sinon un faciès discordant.  Cela disqualifie un "maintien de l'ordre" qui devient le plus grand des désordres.

 HA