Les Kurdes ont en Macron un allié solide.

Lors d'un conseil restreint de défense sur l'offensive turque en Syrie, l’Élysée a promis de prendre des mesures pour protéger les personnels français militaires et civils dans le nord-est syrien.  (AFP)

  Cela ne concerne pas les militaires et civils kurdes. C'est l'aveu d'une non intervention, la disproportion des forces sur le terrain l'interdisant. C'était prévisible et les beaux discours à l'ONU ne servent qu'à le masquer. Il aurait fallu choisir à temps la voie de la négociation et non laisser la voie libre à Erdogan... ou à une troisième guerre mondiale catastrophique  dont les Français et Françaises ne veulent pas. Il est encore temps de revenir à une orientation  "gaulliste"  et de ne pas se limiter au discours creux.

  HA