Cette perle du capitalisme rentier conserve ce qu'elle vend et emploie une poignée de salariés pour des profits pharaonique.
L'intelligence artificielle utilisée à plein permet à une filiale déguisée de piller des textes sur internet, d'éviter de nommer les gens pillés pour ne pas payer de droits d'auteur.
Le New York Times a refusé tout accord. Ses journalistes ont consacré dix huit mois à une enquête sur les taxis de New York qui a obtenu le prix Pulitzer. Il a été pillé sans vergogne, au mot à mot. Et déformé aussi car le cerveau virtuel a des failles. Un procès en résulte. Des milliards sont en jeu. L'Authors Guild association d'écrivains se joint à la plainte. Qu'un tribunal américain arbitre fait froid dans le dos quand on connaît la puissance des lobbys aux USA.
L'intelligence artificielle peut être la meilleure et la pire des choses. Tout dépend de qui l'utilise et pour quoi faire. Elle ne saurait être au dessus des lois.