L'INSEE décompte au 1er janvier 6 022 176 habitants, dont 1 201 883 dans l'Hérault. L'agglomération montpelliéraine au sens géographique est en route vers les 500 000.
Est-ce un bien, est-ce un mal ? Pour le blog poser la question de cette façon n'a aucun sens. La géographie n'a rien à voir avec la morale.
Comprendre le phénomène pour contrer les éléments négatifs est un devoir. Il ne s'agit en aucune façon d'un signe de dynamisme général puisque la Région , et particulièrement le Languedoc-Roussillon figure parmi les plus pauvres de France.
Deux locomotives, Montpellier- Nîmes et Toulouse concentrent l'innovation, un dynamisme réel et une relative jeunesse de leur population même si Nîmes perd en apparence des habitants (qui vont en balieue). Cela ne veut pas dire qu'ailleurs il n'y a que des vieux mais qu'il y a beaucoup de pauvres et pas beaucoup de travail. Le chômage au soleil reste le chômage . Pour les départements, alors que l'état se désengage , cela exige de gros efforts. Tout être humain est une richesse, n'en déplaise à Malthus et à ses disciples actuels. A condition qu'il ait les moyens de se loger, de gagner sa vie, de se soigner, d'avoir une école pour ses enfants.
C'est cela l'enjeu du "défi démographique" pour nous.