Les forces américaines ont été attaquées 62 fois en Irak et en Syrie depuis le 17 octobre, a annoncé le Pentagone le 17 novembre, selon South Front
29 de ces attaques ont eu lieu en Irak et 33 en Syrie. Les trois dernières attaques, toutes menées avec des drones suicides, ont visé la base aérienne d'al-Harir et la base aérienne d'Ayn al-Assad, dans le nord et l'ouest de l'Irak, ainsi que la base de Tell Beydar, dans le nord-est de la Syrie.
Il n'y a eu que des pertes matérielles selon le Pentagone.
"La Résistance islamique en Irak" (IRI), une coalition de factions armées soutenues par l’Ira parle de "réponse aux crimes commis par l’ennemi [Israël] contre la population de Gaza." Le nombre d’attaques contre les forces américaines semble augmenter. Les gouvernements ne sont pas officiellement concernés mais ne font rien contre les assaillants pas toujours identifiés, notamment en Syrie. Cette guerre oubliée de nos médias est tout de même un autre front pour les USA et une nouvelle dépense en perspective.