Vingt-trois heures d’avion, onze heures sur place. Rarement un déplacement officiel en Chine aura été aussi bref.
Rarement, aussi, il aura suscité autant de critiques. Celles-ci se font entendre jusqu'au sein de la coalition d’Olaf Scholz, rapporte Pascal Thibaut.
Les Verts rejettent le « business as usual », dénoncent les atteintes aux droits de l’homme de Pékin et le risque, comme dans le passé avec la Russie, d’être dépendant d’un pays peu démocratique.
Les chrétiens-démocrates sont aussi critiques, oubliant un peu vite les douze visites sur place d’Angela Merkel, surtout intéressée de voir les géants du Made in Germany décrocher des contrats.
Que va-t-il en résulter ?