Pierre Ivora avec raison demande à ce qu'on soulève le capot de la gestion des entreprises. En plein marasme social révélé par les élections, le CAC 40 bat des records. Et ce n'est que la face visible de l'iceberg des profits financiers.
Le partage exigé des richesses implique la transparence, sans laquelle le renard est roi. Et donc la fin du droit divin patronal. Si cette étape n'est pas franchie, nul doute que de grandes difficultés surgiront au moment de payer les conquêtes sociales. On ne pourra en effet pas le faire avec des économies mais avec une augmentation des recettes. Et c'est largement possible, mais il y faut une volonté politique sans failles, car ce sera dur !