Notre ministre répond à la question d'un journaliste sur une éventuelle réponse à une attaque de la Russie contre l'Ukraine : "C'est d'abord une question allemande. À l'égard de cette position, la France a toujours marqué une grande réserve sur le Nord Stream 2. Mais si, d'aventure, il y avait une agression en Ukraine, cette question serait mise sur la table"
C'est une affaire allemande, comme si le gaz russe ou américain n'était pas une question posée à l'Europe de l'Ouest dans sa totalité.
La France est contre le gazoduc mais sans l'avoir jamais dit et des sociétés françaises l'ont financé, comme elles financent le gaz de l'arctique sibérien.
Si la Russie attaquait, on réfléchirait à ce qu'il convient de faire.
Si vous arrivez à comprendre faites nous signe.