Le littoral, nous le savons , est attaqué. De bons apôtres en concluent que c'est perdu d'avance et qu'il faut partir. Ce n'est pas l'avis du blog : l'humanité sait s'adapter depuis l'apparition de l'Homo Sapiens.
Selon des bruits non encore confirmés, le maire s'orienterait dans les trois ans à venir vers la mise en place de boudins textiles (invisibles) brisant la force des vagues à proximité du rivage. La solution portée par l'ASPRI a été validée ailleurs et n'a rien de révolutionnaire. Elle est bien moins onéreuse que l'engraissement par du sable venu d'ailleurs, qui rappelle les défunts schaddoks, la mer enlevant aussitôt ce sable précieux. A suivre