Anasse Kazib  est  un  candidat qui  a des apparences révolutionnaires.   Pour lui , le bleu-blanc-rouge est  associé à l’impérialisme et à la collaboration avec les nazis",  il préfère  l’usage du drapeau rouge révolutionnaire dans sa campagne.

Le colonialisme s'est fait avec le drapeau bleu blanc rouge, Pétain a conservé le drapeau bleu blanc rouge. C'est vrai. Mais les volontaires de 92, les révolutionnaires de 1830 et de 1848 le brandissaient , ainsi que la commune et la Résistance.

  Choisissant un symbole  comme marqueur  il rejoint ceux qui font du foulard islamique  une frontière infranchissable. Quelles que soient ses intentions il crée une division artificielle , dont profiteront  Macron et le pire.

 Le blog se doutait bien qu'au moment où les quartiers populaires doivent impérativement faire partie du rassemblement  pour le changement surgiraient des obstacles inattendus.    Mais le verre est à moitié plein. Si le problème affleure (qui se pose aussi à la gauche qui se réfugie derrière une fausse laïcité pour rejeter les quartiers populaires) c'est qu'il existe, et c'est  la première fois qu'il se pose aux présidentielles..  Auparavant le silence était roi. Donc on avance.

HA

Son porte parole a déclaré "Nous observons une activité accrue en Bulgarie et en Roumanie, et elle [l’Alliance] mène à la transformation aussi de la mer Noire en une arène de confrontation militaire; la mer Baltique ils l’ont déjà transformée en une arène de rivalité militaire. [...] C'est une voie extrêmement dangereuse, pleine de risques d'incidents militaires".

Après une telle constatation on aurait pu s'attendre  au désir de négocier. Mais Peskov  a jugé  que le dialogue  "n'est pas nécessaire en de telles circonstances". 

C'est avouer  que   Poutine pense  que les gesticulations militaires  ne sont que du vent  et que l'OTAN n'est un danger que pour des guerres asymétriques comme en Syrie, en Irak ou en Libye et il y a peu en Afghanistan, comme avatar des USA. On  discute avec les maîtres  et non les domestiques Les négociations seront unilatérales ou ne seront pas.  Et  l'inconsistance diplomatique de l'Europe de Bruxelles et Strasbourg  moquée, sans en avoir l'air.

La Russie n'a plus peur de la confrontation et le fait savoir. Il va bien falloir discuter sérieusement.

Invité par les Amis de l'Huma à la fête de l'Humanité, l'astrophysicien nous donne une précieuse leçon

    Ce que nous observons n'est pas forcément la vérité scientifique

Nous voyons  le soleil tourner autour d'une terre immobile. Et pourtant c'est faux. La première mission de la science est de créer des théories rendant compte du réel le plus exactement possible.

Le blog élargit à la science politique.  Les "lois" de l'économie pourtant observables  peuvent être fausse. La richesse créée par l'homme et non pas l'argent ou la machine est un axiome de Marx qui répond mieux à l'évolution que les pseudos lois libérales.

   Il n'y a pas de "conquête" spatiale en sciences

Le but de la science n'est pas de s'approprier l'espace. Elle explore l'univers à des fins d'intérêt général.

Il n'y a pas de progrès en soi

Toute possibilité technique n'st pas un progrès. elle le devient si on sait la maîtriser. Un espace satellitaire contrôlé par quelques uns à des fins mercantiles, ce n'est pas encore un progrès.

  Le vrai mot d'ordre ce n'est pas l'arrêt du nucléaire mais la décarbonisation

 Le nucléaire doit perdre sa dangerosité et la science doit régler le problème des déchets. Mais le danger ce sont les énergies fossiles carbonées qu'il faudra proscrire.

L'article occupe une double plage ,  résumer est impossible , le blog a trié. Un conseil : lisez -le.

Faites vous entendre à l'appel du PCF

Le prix Sakharov fut un prix de guerre froide . Après l'implosion de L'URSS il avait changé de nature.  Mais en 2021 l'Europe est à nouveau confrontée à son  déclin et à la montée de la Chine et de la Russie. La guerre froide revient, sous une autre forme.

 Pour désigner le vaillant héros de la liberté vue d'occident  le Parlement avait à choisir entre Navalny sans cesse ressuscité d'entre les morts  et  la fugace présidente putchiste de la Bolivie.  Quel aveu ! Il aura choisi un héros à son image, arc bouté sur la supériorité divine  de l'occident. Mais ce n'est pas ça qui changera la réalité.  Et ceux qui se félicitent intérieurement d'un attentat parce qu'il est à Damas devraient réfléchir.