Le blog n'est pas qualifié pour dire qui ment ou ne ment pas. Mais un pas est franchi dans le lourd dossier des violences familiales.
Il faut bien reconnaître que le plus souvent cela se solde par des demi excuses qui conduisent à un compromis finalement favorable à l'auteur des violences qui évite les sanctions. Quatennens de retour à l'Assemblée et avouant une gifle illustrerait ce cas de figure.
Pour Céline il n'y a pas eu qu'une gifle et les violences sont étalées dans le temps. Il n'est donc pas possible dans ce cas de poursuivre une carrière politique à gauche. C'est la question qui est posée.
Qui résoudra ce dilemne, FI ou la justice ? Nous l'ignorons. Mais si ce n'était pas fait , tout un discours sur la violence faite aux femmes serait un discours de tartuffe.