le grand écart entre les Bourses qui se portent à merveille et l'économie occidentale en crise appelle une réaction.
Plihon propose trois mesures accessibles tout de suite.
- La BCE ne prêterait qu'aux banques qui réinvestissent dans l'économie réelle
- Le rachat des titres sur le marché par la BCE (donc l'aide au financement des entreprises endettées) serait ciblé sur les entreprises respectant les objectifs de la transition économique et sociale. Non aux licenciement boursiers.
- une taxation (Tobin) des transactions financières serait mise en place.
Mais un rapport de forces inédit est nécessaire, car c'est ni plus ni moins que la remise en cause du capitalisme rentier reaganien .