Le 5 avril, l'armée turque a bombardé la base du 46 e régiment de l'armée arabe syrienne (AAS) dans la campagne occidentale d'Alep. Comme il n'y a pas eu de victime, ce qui est étrange avec la capacité des armes modernes, on est obligé de penser à des gesticulations dans le but de rétablir un rapport de forces plus favorable. La Turquie envoie aussi des renforts. Gageons que Syrie et Russie en font autant.
Cela rappelle tout de même la Serbie de 1914, où des nationalistes violents affrontaient l'Autriche sans être trop pris au sérieux.. Et puis il y a eu Sarajevo et l'assassinat de l'Archiduc, et le monde a basculé dans la guerre.
Quand Macron le comprendra-t-il ? La seule solution est une paix négociée qui écarte définitivement les islamistes, alliés honteux et masqués de l'occident.