La guerre fait rage autour d'Idlib. Au nord la Turquie reprend Saraquib et coupe de nouveau l'artère vitale Damas-Alep.
Au sud (couleur rouge sombre) le front est raccourci et une zone montagneuse stratégique (les sommets surplombent la plaine) est récupérée par la Syrie.
La France vole au secours de la Turquie et espère obtenir un compromis des Russes. A Genève, quand il était temps, il ne fallait pas exiger stupidement le départ d'Assad. Il fallait aussi désarmer les islamistes.Désormais la victoire syrienne ne fait guère de doute, avec comme seule autre option une guerre mondiale en cas d'intervention de l'OTAN, et la solution militaire (avec les morts civils prévisibles) prévaut. Dans la faillite de la politique occidentale, la France porte une lourde responsabilité.